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Le mardi 14 octobre, la paisible communauté de Dangoré, située à seulement 15 kilomètres d’Amdafock, a été le théâtre d’une attaque tragique qui a choqué les habitants et ravivé des craintes déjà profondes concernant la sécurité dans cette région rurale.
Dans une embuscade orchestrée par des bandits armés soudanais, deux jeunes agriculteurs ont été attaqués alors qu’ils revenaient de leurs champs d’arachide. Les assaillants, dont l’identité reste inconnue, ont grièvement blessé les deux victimes, provoquant une onde de choc dans la communauté.
Le premier blessé, Nabia DJENDJERE, a été transporté d’urgence à l’hôpital d’Amdafock, où il est actuellement en soins intensifs. Malheureusement, son compagnon n’a pas survécu à ses blessures, laissant derrière lui une famille dévastée et une communauté en deuil. Cette tragédie soulève des questions cruciales sur la sécurité des civils dans les zones rurales, déjà fragilisées par des tensions et des violences transfrontalières.
Les habitants de Dangoré expriment leur frustration et leur peur face à l’impuissance des autorités à protéger les citoyens des attaques répétées.Les leaders communautaires lancent un appel urgent à des mesures de protection renforcées. Ils demandent une réponse ferme et immédiate des forces de sécurité pour mettre fin à cette menace qui pèse sur la vie quotidienne des agriculteurs et des familles de la région.
La situation à Dangoré rappelle la nécessité d’une action collective pour garantir la sécurité des populations vulnérables et prévenir de futures tragédies. Les habitants espèrent que cette nouvelle attaque ne sera pas une simple note marginale dans l’actualité, mais plutôt un catalyseur pour un changement significatif.
Les pensées et les prières de toute la communauté sont avec les familles des victimes, alors que la lutte pour la paix et la sécurité continue.
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